Catégories : Aux pieds des femmes
il y a 1 an
Depuis tout petit, je suis fétichiste des pieds féminins. Malheureusement, ce fantasme est tabou et difficile à assumer dans notre société. C’est pourquoi, à l’approche de la nouvelle année scolaire, je me f o r c e à ne pas y penser, à ne plus regarder les pieds des filles dans la rue ou sur internet. A la rentrée, je me suis fait de nouveaux amis dont Mélanie. Elle était en couple depuis plusieurs mois déjà. J’ai donc tout de suite évité de me faire des films avec elle, même si elle m’attirait quand même un peu. En effet elle était plutôt jolie, brune aux cheveux longs, yeux noirs et assez petite.
Elle avait un caractère bien trempé et même un peu garçon manqué de temps en temps. Quand on n’était pas d’accord avec elle, elle criait voire giflait (doucement). Elle compensait sa petite taille par un tempérament de leader, elle aimait quand c’est elle qui décidait. Sa phrase préférée : « c’est moi le chef ». J’essayais régulièrement de me revendiquer chef aussi mais je finissais avec sa main droite sur ma joue. Après tout, cela m’amusait aussi.
Un jour, elle me demanda le lui envoyer les réponses aux devoirs à faire par message. Je lui ai répondu que j’avais la flemme et elle répliqua par un « Chut c’est moi qui décide », ce que je démenti une fois de plus en me proclamant chef. Elle m’envoya alors une image de ses macarons au Nutella maison. Elle savait que je raffolais de Nutella et me proposa de me donner un macaron le lendemain si j’avouais qu’elle était le chef et que je lui envoyais les devoirs.
Devant un tel chantage, et parce que l’idée d’être à son service me plaisait, j’acceptai et fis ce qu’elle demandait. Sa réponse ? « Merci esclave ». J’étais comme un fou devant mon téléphone. J’ai tout de suite pensé à mon fétichisme des pieds et aux fameux « esclave des pieds ». Malgré tout, pour ne rien laisser transparaître, j’ai protesté en disant que je n’étais pas son esclave et je me suis vu confisqué de macarons. « Rho et puis zut » me suis-je dit, en l’autorisant à m’appeler comme ça seulement par message mais pas au lycée. Le lendemain matin, comme prévu, à la première heure, elle m’a tendu le macaron tant convoité :
- Merci qui ? demanda-t-elle avec sarcasme.
- Merci Mélanie. lançai-je gifle
- Ca va pas non ? répondis-je.
- Je te le redemanderai pas. menaça-t-elle
- Merci chef. dis-je finalement
- C’est bien esclave. Tu en auras un autre si tu es sage. conclu-t-elle
Suite à cette altercation, elle repartit voir son petit copain. J’étais bluffé. Je savais qu’elle avait un tempérament pour diriger mais là je me sentais complètement inférieur. J’en avais presque oublié ce pourquoi je m’étais soumis de la sorte : le macaron. Il fut, comme prévu, délicieux et je me suis promis de tout faire pour mériter le second. La journée s’est ensuite déroulée comme si de rien n’était. Le soir, par message, la discussion entre nous tournait autour des éloges que je faisais d’elle pour mériter mon macaron en exagérant volontairement. En réponse, elle me félicitait en tant que « meilleur des esclaves ». J’avais du mal à savoir à quel degré prendre cette conversation et à quel degré elle la prenait elle.
Elle me promit finalement un deuxième macaron pour le jour suivant. Le jour suivant, même lieu, même heure, j’ai retrouvé Mélanie qui, cette fois, avait oublié mon macaron. Elle me proposa donc d’aller le manger chez elle après les cours. J’acceptai avec plaisir. Sur les coups de 16h15, nous nous sommes dirigés vers son domicile. En franchissant la porte, elle me dit qu’il ne fallait pas garder les chaussures pour ne pas salir avec un petit sourire en coin. J’enlevai donc les miennes mais Mélanie restait figée sur le bas de la porte. Après quelques petites secondes de silence, elle lança :
- Eh, esclave, mes chaussures vont pas s’enlever toutes seules !
- Euh … Mélanie, tu trouves pas que ça va un peu loin … ? dis-je en essayant d’oublier mon fétichisme
- De quoi tu aimes pas mes macarons ? La porte est juste là ! s’énerva-t-elle
- … Bon ok mais ça reste entre nous … acceptai-je, rouge de gêne
J’ai donc cédé à son caprice et me suis mis à genoux devant elle. Elle avait l’air d’apprécier d’être la plus grande cette fois-ci. Elle portait des chaussures Vans noires et des chaussettes courtes blanches. J’ai donc délacé ses deux chaussures puis levé ses jambes l’une après l’autre afin d’en extraire les Vans. Une fois ses deux chaussures enlevées, laissant deviner ses courbes plantaires enveloppées dans leur abri blanc, elle m’invita à m’installer sur le canapé. Une fois assis, elle prit son ton autoritaire pour me demander de m’asseoir plutôt par terre. Enfin installé là où elle me l’a demandé, elle s’asseya sur le canapé à mon niveau et me regarda de haut pendant de longues secondes avec un léger sourire. Il faut dire que dans cette configuration, j’étais à sa merci. Elle prit alors un des macarons posés sur la table et me fis ouvrir la bouche afin de me nourrir comme un bébé, ce que j’avais du mal à comprendre.
Alors qu’il était à quelques centimètres de mes lèvres incrédules, Mélanie reçu un appel de son copain et alla immédiatement s’isoler dans la pièce à coté. Je suis alors resté tout seul, essayant de me remettre les idées en place et de comprendre pourquoi elle me faisait faire tout ça. J’ai finalement préféré admirer les macarons devant moi sans avoir le droit d’y toucher. Mélanie finit par revenir en disant « Quel égoïste celui là ! Je te préviens je suis de mauvais poil alors tu fais pas chier. D’ailleurs j’ai bien envie de me passer les nerfs sur toi, esclave ! ». Ces dernières paroles me firent paniquer mais je ne laissais rien paraître. J’avais envie de voir ce que j’allais subir. Elle alla chercher un pot de Nutella presque vide dans la cuisine en rigolant et en se félicitant d’avoir eu une bonne idée, sans que je sache laquelle. Je me demandais quel sort elle me réservais mais je ne me plaignais pas car je fantasmais d’être dominé de cette manière. Elle s’installa alors sur le canapé, enleva ses chaussettes, trempa son doigt dans le pot et étala le nutella sur son gros orteil du pied droit puis me tendit le pied. Je ne croyais pas ce que je voyais. Elle était en train de …. Non je ne faisais que rêver, ça ne pouvait pas être vrai Je fixais ce pied, hébété :
- Allez tu raffoles de Nutella, tu vas pas faire la fine bouche ! s’impatienta-elle
- La ça va vraiment trop loin… Dis-je d’une voix tremblante en me relevant
Elle me gifla alors v i o l emment avec son pied gauche avant que je puisse me redresser.
- Ouvres la bouche sans faire d’histoire, esclave ! cria-t-elle
J’étais à deux doigts de pleurer, sans savoir vraiment pourquoi. De la joie ? De la honte ? De l’émotion ? De la peur ? Devant la colère de Mélanie et la beauté de ses pieds tartiné que j’osais à peine regarder, je me résolus à obéir. J’ouvris donc la bouche. Elle y introduit immédiatement son orteil chocolaté dedans, et je me mis à le téter comme un bébé avec des larmes qui coulaient sur mes joues. Pourtant, le goût du Nutella et la douceur de l’orteil firent de la tétée un délicieux moment.
Pendant ce temps, elle me regardait en rigolant et en répétant « c’est bien esclave ». Après un moment impossible à déterminer, elle retira son pied puis tartina toute la plante de Nutella avec son doigt et me demanda de nettoyer. Je demanda, d’une voix chargée d’émotion, « Mélanie, pourquoi …. ? ». Pas de réponse, juste un regard insoutenable. Je me résolus donc à me mettre à lécher la plante de ses pieds de toute la pâte à tartiner. Mes coups de langue étaient timides, hésitant, malgré le plaisir que j’y prenais. Pendant que je léchais la plante de son pied, l’autre pied vint me caresser la joie pour sécher la larme qui s’écoulait doucement. Je releva alors la tête en sa direction et vit, pour la première fois, un sourire amical. Je lui ai, à mon tour, lancé un sourire avant de me remettre à mon travail avec beaucoup plus d’envie.
Avait-elle compris que j’y prenais, moi aussi, du plaisir ? Voulait-elle me faire plaisir à moi aussi ? Peu importe. Une fois le travail terminé, elle me tendit immédiatement l’autre pied et m’ordonna de le lécher aussi, sans Nutella, en prétextant qu’il était jaloux. C’était maintenant clair, elle voyait que ses pieds m’hypnotisaient et me rendaient fou. Je n’avais plus à craindre quoi que ce soit, de toute façon le mal était fait. Je me suis lancé donc dans le nettoyage de son pied gauche, comme si le Nutella y était, mais simplement pour le goût naturel de son peton. Le nettoyage dura plusieurs minutes au bout desquelles elle retira son pied sèchement. Il était temps pour moi de récolter mon dû. Elle me demanda donc d’ouvrir la bouche. Elle y inséra du pied un délicieux macaron que j’ai délecté avec plaisir. En me proposant un deuxième biscuit, elle me fit de nouveau ouvrir la bouche, en fermant les yeux cette fois-ci, mais c’est de plutôt son pied droit qu’elle tenta de mettre dans ma bouche, en entier cette fois. Par réflexe, j’ai reculé la tête et tombai en arrière. Elle se leva et monta sur mon torse en demandant:
- C’est qui la plus grande maintenant hein ?
- C’est toi.
Elle sauta alors de tout son poids sur mon estomac pour me punir.
- C’est vous Maîtresse Mélanie ! lançai-je en cherchant mon souffle
- C’est mieux, esclave ! Tiens tu mérite ça ! félicita-t-elle Elle pris un autre macaron, le coinça entre ses orteils et l’engouffra dans ma bouche déjà ouverte
- Ils sont bons mes macarons ? demanda-t-elle
- Divins, Maîtresse Mélanie. rétorquai-je en avalant
- Goutte ça tu m’en diras des nouvelles ! enchaîna-t-elle
Elle refis la même chose mais avec une des chaussettes qu’elle avait enlevée :
- Alors ? demanda-t-elle
- Mmmh ! (Je ne pouvais pas parler avec la chaussette dans la bouche)
- Je savais que tu aimerais et tant mieux parce que tu vas encore en bouffer ! rajouta-t-elle avec ironie
C’est alors qu’elle reçu encore un appel de son petit copain et elle se rasseya sur le canapé en repliant les genoux avec les pieds sur le canapé. J’en profitai pour cracher la chaussette Alors que l’échange s’éternisait et que je m’ennuyait, c’est pourquoi je ne pu m’empêcher plus longtemps de venir en rampant positionner ma tête en dessous de ses pieds en les attendant. Tout en étant au téléphone, elle me vis et sourit en posant délicatement ses pieds sur mon visage. Je ne bougeais plus, je me contentais de vénérer cette petite déesse. Quelques secondes après, elle finit par raccrocher. Tout semblait être rentré dans l’ordre avec son copain.
C’est avec une voix plus douce qu’elle me donna l’ordre de lécher ses pieds en intégralité tout en les levant légèrement pour que je puisse y avoir accès. Je me suis empressé d’obéir. Maintenant que les choses étaient plus calmes, je profitais de lécher un pied pour admirer l’autre, suspendu quelques secondes plus haut. Les pieds de Mélanie étaient vraiment très mignons et doux. La courbure de ses plantes était digne d’une oeuvre d’art et l’arrondi de ses orteils aurait de quoi faire rougir un compas de géométrie.
Le tout était d’un rose-beige pâle presque immaculé. Et pendant plus d’une heure j’ai vénéré et admiré ses pieds de cette manière pendant que Maîtresse Mélanie regardait la télévision en mangeant ses macarons, dont j’avais le droit à chaque pause publicité avant de me remettre au travail. Finalement, autour de 18h30, mon bus arrivait sous peu. Je me permis de lui signaler, en espérant aucune mauvaise réaction de sa part. Heureusement, sans un mot, elle retira ses pieds qui étaient alors posés sur mon visage. Je repris petit à petit mes esprits, me levai, remis mon blouson et mes chaussures sans dire un mot. Elle se leva à son tour, me regarda dans les yeux en souriant puis me pris dans ses bras en me chuchotant qu’elle devrait faire des macarons plus souvent.
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